
Andrea Alatorre
Étudiant(e)s au doctoratAndrea est biologiste diplômée de l’UNAM (Universidad Nacional Autónoma de México), et détient également les diplômes de Master of Science de l’Imperial College de Londres et Master of Environmental Management de Duke University. À partir de sa thèse de premier cycle, sa passion pour les instruments de conservation et de développement durable a commencé, en particulier le programme national mexicain de paiements pour services écosystémiques (PSE). Pour sa maîtrise en sciences de la conservation, elle a continué ses recherches sur les PSE au Mexique, cette fois du point de vue de l’analyse des lacunes et des omissions. Son projet de maîtrise en gestion de l’environnement à Duke University, axé sur l’économie et la politique environnementales, était une exploration des interactions entre diverses stratégies intégrées de conservation et de développement au Mexique. Andrea a aussi travaillé comme assistante de recherche sur divers aspects de la santé environnementale, des conditions propices à la conservation dans les territoires autochtones et communautaires, ainsi que sur l’efficacité et l’équité des programmes de PSE au Mexique.

Kloé Chagnon-Taillon
Étudiant(e)s à la maîtriseco-directionKloé est candidate à la maîtrise sur mesure (UQAT) en conservation des territoires autochtones sous la direction d’Hugo Asselin et de Jérôme Dupras. Détentrice d’un baccalauréat en biologie à l’UQAR, elle s’intéresse aux droits et valeurs des communautés autochtones, à la notion du lien au territoire ainsi qu’à l’intégration des arts en recherche. Au cours de son baccalauréat, elle a notamment mené à terme une microthèse sur les réponses comportementales du caribou de la Gaspésie-Atlantique à un événement sportif d’envergure de course en sentier. Elle a aussi monté un programme d’interprétation de la faune et de la flore ainsi que plusieurs conférences au sujet de l’environnement dans le secteur de la Haute-Gaspésie. Elle a participé à divers projets d’inventaires floristiques en milieu côtier, subalpin et forestier. Kloé a récemment travaillé en tant que technicienne halieutique pour Pêches et Océans Canada aux Îles-de-la-Madeleine.

Raphaëlle Frechon
Étudiant(e)s au doctoratRaphaëlle détient une maîtrise en gestion durable des écosystèmes forestiers (UQAM 2016) et un baccalauréat en biologie environnementale (McGill 2014). Elle a intégré la Chaire de recherche en 2020 pour faire un doctorat en lien avec la conservation et la valorisation des écosystèmes. Avant de reprendre ses études, elle a œuvré au sein d’organismes communautaires, coordonné plusieurs projets d’inventaires en milieux humides et forestiers, participé à des initiatives d’éducation relative à l’environnement et travaillé comme technicienne forestière. Ses expériences académiques et professionnelles l’encouragent à faire de la recherche avec des retombées applicables sur le terrain.

Lynda Gagné
Professionnels de rechercheChercheuseLynda Gagné est professeure émérite à l’Université de Victoria, et travaille actuellement comme consultante indépendante et chercheuse à l’ISFORT (Institut des sciences de la forêt tempérée) à l’Université du Québec en Outaouais. Elle a obtenu son doctorat en économie à l’Université de la Colombie-Britannique en 2002 et a complété ses études de comptable général accrédité en 1991. Avant de se joindre à l’École d’administration publique en tant que membre du corps professoral de l’Université de Victoria en 2001, elle a enseigné la comptabilité et l’économie à l’Université Simon Fraser, à l’Université de la Colombie-Britannique et au Collège Columbia, entre 1997 et 2001, et a travaillé comme comptable dans le secteur à but non-lucratif et pour le gouvernement du Yukon de 1986 à 1993. Son expertise comprend l’analyse des avantages et l’évaluation économique en général, et la gestion financière et économique du secteur public. Ses intérêts de recherche comprennent l’économie écologique, l’évaluation économique des projets et des politiques du secteur public, les finances publiques, et la lutte antitabac.

Faby Anne Gagné-Mimeault
Étudiant(e)s au doctoratFaby Anne est titulaire d’une maîtrise professionnelle en gestion de l’environnement de l’Université de Sherbrooke (2021), où elle s’est notamment intéressée aux concepts d’économie verte et de relance économique verte. Au cours des dernières années, elle a cumulé différentes expériences professionnelles en agriculture urbaine et périurbaine. Dans le cadre de la Stratégie québécoise de l’eau, son projet de recherche s’insère au sein d’un projet-pilote en territoire agricole dont l’objectif est d’y apporter des changements dans l’utilisation du territoire à l’échelle du bassin versant. Plus spécifiquement, Faby Anne s’intéresse aux types de mécanismes de soutien aux agriculteurs et leurs caractéristiques, ainsi qu’à leurs conditions d’implantation. Le projet de recherche vise ainsi à mettre en lumière l’ensemble des éléments présents au sein des systèmes agroenvironnementaux dans le but d’accroître l’acceptabilité sociale auprès des collectivités lors d’implantation de nouvelles pratiques et de programmes qui les soutiennent.

Jean-Olivier Goyette
Stagiaires post-doctorauxJean-Olivier s’intéresse à l’interrelation entre la société et les écosystèmes. Il se concentre sur les écosystèmes aquatiques, compte tenu de l’importance de la ressource en eau, mais aussi de leur volet intégrateur à l’échelle du territoire. Durant sa thèse, il a étudié comment les activités humaines du dernier siècle et la configuration du paysage influençaient la pollution aquatique en azote et en phosphore dans le bassin du Saint-Laurent. Ses recherches l’ont ensuite amené à étudier les milieux humides et les différents services qu’ils rendent à la société. À travers ses stages post-doctoraux, il vise à mieux comprendre la variabilité des fonctions écologiques au sein des différents types de milieux humides, mais aussi à explorer les seuils minimaux à conserver ou restaurer afin d’assurer la résilience de nos systèmes face aux changements climatiques. De plus, il travaille à l’élaboration d’approches de planification systématique afin d’appuyer les décideurs dans la priorisation de sites à conserver ou restaurer au sein d’un territoire de telle sorte que ceux-ci répondent aux besoins des citoyens.

Marc-André Guertin
Étudiant(e)s au doctoratCo-directionMarc-André Guertin a une formation en sciences (écologie et sciences de l’environnement) de l’UQAM et de l’Université McGill. Il détient une maîtrise en sciences de l’environnement de l’UQAM, et une formation de 2e et 3e cycle en éducation relative à l’environnement (UQAM) ainsi qu’en pédagogie de l’enseignement supérieur (Université de Sherbrooke). Il détient une expérience appréciable en gestion des milieux naturels à l’échelle locale, il enseigne la conservation de la biodiversité au Centre de formation universitaire en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Ses intérêts de recherche portent sur l’aménagement du territoire ainsi que la formation des décideurs à l’environnement et à la biodiversité. Il est candidat au doctorat à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM sous la direction de Lucie Sauvé.

Rose Kikpa Bio
Étudiant(e)s au doctoratRose est titulaire d’une maîtrise en géographie et aménagement du territoire à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin) et d’une autre maîtrise en sciences sociales du développement territorial à l’Université du Québec à Outaouais (UQO). Son mémoire de maîtrise portait sur La gouvernance des espaces verts à Gatineau : cas de la forêt Boucher. Elle continue ses études au doctorat en Sciences Sociales Appliquées à l’UQO. Ayant plusieurs années d’expériences professionnelles en développement communautaire et coopération internationale, Rose a contribué à l’élaboration des politiques en gestion de l’environnement, des schémas d’aménagements et de développement. Ses champs de recherches portent sur la gestion des ressources naturelle, l’aménagement du territoire et la gouvernance.

Camille Kowalski
Étudiant(e)s au doctoratCamille est candidate au doctorat à l’ISFORT/UQO. Elle est titulaire d’un baccalauréat de l’Université du Queensland (Australie) en Sciences Marines (2017) ainsi que d’une maitrise du programme IMBRSea (Portugal, Espagne, Irlande) en gestion des ressources marines (2019). Son mémoire de maitrise consistait à évaluer l’impact de la pêche artisanale sur les tortues marines de l’île de São Tomé, un archipel situé au large du continent africain. Son projet de doctorat vise à caractériser la navigation de plaisance dans l’habitat estival du béluga du Saint-Laurent. Le développement d’un modèle multi-agent représentant les comportements des plaisanciers sera intégré à une plateforme de simulation impliquant également les mouvements des bélugas et des quatre espèces de grands rorquals les plus fréquents dans la région. Le simulateur global aura pour but d’évaluer les impacts de la plaisance sur les baleines et permettra de tester des scénarios visant à atténuer ces impacts.

Chloé L’Ecuyer-Sauvageau
Professionnels de rechercheChloé est professionnelle de recherche à la Chaire depuis le printemps 2023. Elle a obtenu son doctorat de l’Université du Québec en Outaouais en 2022. Dans le cadre de sa thèse, elle a utilisé des outils d’analyse économique pour estimer la valeur de services écosystémiques dans le contexte de l’agriculture au Québec. De 2022 à 2023, elle a réalisé un stage postdoctoral dans lequel elle a estimé les bénéfices (retombées économiques) de la présence de bélugas dans la région du Saguenay-Saint-Laurent. De même, elle a cherché à estimer les coûts, pour l’industrie maritime, de la mise en place d’une mesure de réduction de vitesse dans le Saint-Laurent, dans le but de réduire le bruit sous-marin. En tant qu’économiste écologique, Chloé souhaite que son travail puisse contribuer à ce que les limites biophysiques soient intégrées à l’économie, afin d’assurer un avenir meilleur pour les générations futures. Au sein de la Chaire, elle met à profit son expertise en analyse économique, notamment en lien avec le développement de questionnaires, avec l’évaluation économique des services écosystémiques et avec les analyses économétriques. Ses intérêts de recherche comprennent l’économie écologique et l’étude des systèmes socio-écologiques.

Julie Lafortune
Professionnels de rechercheDirectriceJulie Lafortune a rejoint la Chaire en 2019, à titre de directrice, afin de soutenir l’équipe dans la gestion et l’administration des activités de recherche, de même qu’au niveau des communications et du développement de projets. Elle est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires, du Département de Stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’École des sciences de la gestion (UQAM), et d’un baccalauréat en communication de l’Université du Québec à Montréal. Elle œuvre depuis plusieurs années dans le secteur de l’environnement et du développement durable, et a acquis une grande expérience en coordination de projets et d’événements, développement de partenariats et gestion administrative, notamment au sein de la Chaire de responsabilité sociale et développement durable, à titre de conseillère en environnement dans le secteur corporatif, et à la direction d’organismes environnementaux.

Ann Lévesque
Étudiant(e)s au doctoratAnn s’est jointe au laboratoire d’économie écologique et au projet ANCRAGE en 2017 lorsqu’elle était à la maîtrise au département des sciences naturelles de l’UQO. Au cours de ses études de deuxième cycle, elle a étudié le conflit de conservation entourant la production agricole dans la plaine inondable du lac Saint-Pierre (Québec, Canada) et la conservation des habitats fauniques. Titulaire d’un baccalauréat en sciences agronomiques et environnementales de l’Université McGill, ses intérêts de recherche portent sur l’analyse des systèmes socio-écologiques, l’économie écologique, la gouvernance environnementale et la recherche-action. Depuis l’hiver 2019, Ann a commencé un doctorat pour continuer ses recherches entamées à la maîtrise dans le but de définir des pistes d’action collective favorisant la conciliation des usages en milieu agricole.

Véronique Nolet
Étudiant(e)s à la maîtriseco-directionBiologiste marine de formation et diplômée de l’Université du Québec à Rimouski, Véronique a entrepris une carrière dans le domaine de la protection et de la conservation des mammifères marins dans le Saint-Laurent dès la fin de son baccalauréat. Elle a occupé différents postes au sein du Réseau d’observation de mammifères marins (ROMM), un poste de directrice pour le programme environnemental de la région du Saint-Laurent, puis a intégrée l’équipe dédiée au transport maritime au Centre d’innovation de Transports Canada. Dans le but de s’outiller davantage en ce qui a trait à la recherche de solutions consensuelles pour mieux arrimer activités économiques maritimes et protection des mammifères marins, Véronique décide de poursuivre son parcours académique en s’inscrivant à la maîtrise à l’Université du Québec en Outaouais, sous la direction des Dr Jérôme Dupras et Dr Clément Chion. Elle joindra ainsi l’équipe dynamique de l’Institut des sciences de la forêt tempérée (ISFORT), pour y travailler plus spécifiquement sur les enjeux de co-construction de scénarios d’atténuation des activités maritimes sur le béluga du Saint-Laurent.

Thierry Nousseassi
Étudiant(e)s au doctoratThierry est titulaire d’une maîtrise en économie appliquée à l’agriculture à l’Agrocampus de Rennes (France) et d’une autre maîtrise en économie appliquée à l’innovation et bioéconomie à Université de Reims Champagne-Ardenne URCA (France). Sa formation en économie appliquée à l’agriculture lui a permis d’avoir des connaissances en évaluation et mise en œuvre des politiques publiques relatives à l’agriculture, à l’environnement, participer activement à l’accompagnement des collectivités territoriales et des entreprises dans la conduite des activités économiques agricole. Dans le cadre de son mémoire pour sa maîtrise en économie appliquée à l’agriculture, il s’est intéressé au maraîchage biologique : les aspects techniques, organisationnels et de distributions d’une production diversifiée. Dans la suite de son projet académique, sa maîtrise en économie appliquée à l’innovation et bioéconomie lui a permis d’avoir des connaissances en évaluation et conseil à la création d’activités nouvelles contribuant au développement économique et social d’un territoire, par l’accompagnement d’innovations technologiques économiques environnementales ou sociales, en particulier les innovations dans le domaine de la bioéconomie. Pour sa maîtrise en économie appliquée à l’innovation et bioéconomie, son mémoire de recherche portait sur l’évaluation socioéconomique des écosystèmes d’innovation transport et mobilité des Hauts-de-France et les implications de ses différents acteurs. Depuis l’été 2023, Thierry a commencé son doctorat en agroéconomie plus précisément en évaluation économique des services écosystémiques rendus par les grandes cultures biologique.

Julie Pelletier
Professionnels de rechercheProfessionnelle de rechercheJulie Pelletier s’intéresse à la cause environnementale depuis le tout début de ses études. Elle possède une formation en droit civil (Université Laval, 1989) et en common law (Western University, 1990) et un D.E.S.S. en droit de l’environnement de l’Université Robert Schuman à Strasbourg (1993). Elle a joint l’équipe de recherche de la Chaire en économie écologique au printemps 2022 après près de 25 ans dans la fonction publique fédérale, dont la moitié comme cadre supérieur. Elle a travaillé pour différents ministères, incluant le Bureau du vérificateur général du Canada, Environnement Canada, Emploi et développement social Canada, et Affaires mondiales Canada. Ses expériences de travail incluent : La coopération internationale en matière d’environnement, l’application des lois sur l’environnement, la gestion et l’évaluation de programmes ainsi que les valeurs et éthiques. Avant de se joindre à la fonction publique fédérale, Julie a travaillé à la Commission de coopération environnementale de l’ALENA, et au Centre québécois du droit de l’environnement. Elle a été membre du Bureau de l’Ombudsman de la ville de Gatineau de 2011 à 2016. Au sein de la Chaire, Julie contribue à l’aspect multidisciplinaire du travail de recherche, avec une emphase plus particulière sur les aspects légaux et la gouvernance fédérale et provinciale en matière environnementale.

Marie Saydeh
Étudiant(e)s au doctoratCo-directionMarie est étudiante au doctorat en sciences géographiques à l’Université Laval depuis 2021 . Elle a obtenu en 2019 une maîtrise de l’Université de Sherbrooke et de l’Université de Liège en sciences et gestion de l’environnement spécialisée pour les pays en développement, ainsi qu’un baccalauréat en biologie de l’Université d’Ottawa en 2017. Elle s’intéresse aux questions de nature transdisciplinaire et son projet de doctorat porte sur la construction sociale de la biodiversité dans les actions collectives en agroenvironnement au Québec.

Jana Schluenss
Étudiant(e)s au doctoratLes interactions entre les humains et l’environnement sont au cœur des intérêts scientifiques de Jana, laquelle s’intéresse particulièrement au concept des services écosystémiques et à leur importance pour la gestion durable des systèmes marins et côtiers, basée sur une perspective holistique. Titulaire d’un baccalauréat en géographie de l’Université Fribourg-en-Brisgau en Allemagne, elle se joint au projet Cost to Coast [C2C] comme candidate à la maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables. Son projet de recherche vise à développer une méthodologie pour identifier et évaluer les bouquets de services écosystémiques et à créer un nouvel ensemble d’indicateurs d’analyse de cycle de vie pour quantifier la perte potentielle des services écosystémiques dans des zones maritimes, estuariennes et côtières. Ses recherches auront pour but de promouvoir, en co-construction avec les acteurs territoriaux, des scénarios de développement durable. Jana compte plus de six années d’expérience pratique en gestion des écosystèmes marins et en collaborations internationales en tant que vice-présidente et coordinatrice des projets environnementaux pour une ONG. De plus, elle a travaillé sur la connectivité des habitats et sur l’éducation environnementale.

Daniel Schönig
Étudiant(e)s au doctoratco-directionDaniel détient une maîtrise en écologie et gestion des forêts et un baccalauréat en biologie. Sa recherche portent sur la gouvernance et la gestion des forêts en relation avec les changements globaux. Les forêts néotropicales, en particulier, jouent un rôle essentiel face aux changements climatiques et à la perte de biodiversité. De grandes parties de ces forêts sont situées sur des territoires autochtones, et elles contribuent aux moyens de subsistance de nombreuses communautés locales. Dans le cadre de son doctorat, il évalue les effets de divers facteurs socio-écologiques sur le sort des forêts néotropicales. Cela inclut le développement de méthodes d’inférence causale dans l’espace géographique.

Jenny Serrano
Étudiant(e)s à la maîtriseJenny est titulaire d’un baccalauréat en architecture à la Pontificia Universidad Católica de Chile et d’une maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal. Elle compte plus de dix années d’expérience dans le milieu municipal notamment en planification urbaine et en gestion de projets. Au cours de sa pratique professionnelle, elle s’est intéressée aux impacts de l’urbanisation, notamment à la perte des espaces naturels par l’étalement urbain, à l’interface entre les milieux bâtis et les milieux naturels, à la détérioration de la qualité de vie par la minéralisation du territoire et, par conséquent à l’augmentation des ilots de chaleur. Elle commence la maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables à l’Université de Québec en Outaouais dans le but d’évaluer le potentiel d’insertion de corridors écologiques dans les milieux urbains de Gatineau. L’étude cherche à mieux comprendre les dynamiques autour du développement d’un projet urbain basé sur des infrastructures naturelles.

Caroline Simard
Étudiant(e)s au doctoratCaroline est titulaire d’une maîtrise en économie de l’UQAM (2008) et d’un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal (2004). Son mémoire de maîtrise portait sur l’intégration de la valeur de l’amélioration de la qualité de l’eau dans l’analyse avantages-coûts de différents scénarios de pratiques agroenvironnementales. Économiste à l’IRÉC, elle est chargée de projets dans le domaine de l’énergie, des ressources naturelles et du développement durable. Elle a également contribué à des mandats de consultation portant sur les services écologiques liés à l’agroforesterie et a participé à deux stages de recherche au Kenya et en Ouganda liés aux paiements pour services environnementaux et à l’évaluation de programmes. Caroline s’est jointe aux projets ANCRAGE et ATRAPP en janvier 2017 où elle réalisera des analyses avantages-coûts intégrant les valeurs économiques hors marché et elle participera à l’élaboration de programmes de paiements pour services environnementaux (PES). Ses intérêts de recherche portent sur l’intégration de la complexité des systèmes socio-écologiques au sein des programmes de PES.

Caroline Thivierge
Étudiant(e)s au doctoratAvant d’effectuer un retour aux études, Caroline a travaillé au sein de différents OBNL environnementaux et à la supervision des activités d’une aire protégée, en lien avec l’écosystème du fleuve Saint-Laurent. Elle a collaboré à différents projets concertés, dont le volet conservation du Plan de gestion intégrée régional de la Table de concertation régionale (TCR) Haut Saint-Laurent – Grand Montréal. Elle est détentrice d’une maîtrise en environnement de l’Université de Sherbrooke. Dans le cadre de son mémoire, elle s’est intéressée aux enjeux de gouvernance régionale des inondations, en contexte de changements climatiques. Soucieuse de contribuer à l’accessibilité de la science auprès des acteurs du milieu et à soutenir les communautés locales face aux défis écologiques et climatiques; elle est maintenant candidate au doctorat en sciences naturelles à l’Université du Québec en Outaouais. Elle se joint au projet iTrackDNA, où elle cherchera à identifier les barrières à l’utilisation de la technologie d’ADN environnemental, en étudiant notamment les mécanismes institutionnels et les perceptions des utilisateurs à cet égard.