
Matthieu Beaumont
Étudiant(e)s au doctoratCo-directionMatthieu obtient une maîtrise en biologie en 2006 (UQAM) et un baccalauréat en biologie en 2003 (UQTR). Au fil des dernières années, il a oeuvré au sein d’organismes de bassin versant et d’équipes gouvernementales de gestion des populations de sauvagine en plus de produire et réaliser des albums de chanson (Tricot machine, Catherine Leduc). Ses intérêts pour la dynamique des populations ainsi que la mise en valeur du milieu lui ont permis d’intégrer le volet écologique du projet ANCRAGE. Ce volet vise à mesurer l’efficacité des aménagements agro-fauniques (haies brise-vent, berges et corridors reboisés) du sud du Québec à maintenir la biodiversité animale en garantissant la connectivité écologique entre les parcelles forestières isolées de l’agroécosystème.

Anne-Marie Campbell
Professionnels de rechercheAgente aux communicationsAprès 10 années d’expérience en communications au sein d’une grande entreprise, Anne-Marie rejoint la Chaire en 2020 pour participer au rayonnement du travail des chercheurs. Elle est titulaire d’un baccalauréat en communications et d’une maîtrise en traduction de l’Université de Montréal. Polyvalente et rigoureuse, créative et ouverte d’esprit, Anne-Marie a le souci du mot juste. En tant qu’agente aux communications de la Chaire, elle souhaite faire voyager les histoires et les innovations du groupe afin de générer un maximum d’impact auprès des acteurs de l’environnement et du public.

Maria Isabel Caricol
Étudiant(e)s à la maîtriseMaribel est diplômée d’un baccalauréat en biologie à l’Université de Vic en Catalogne (2017) et a commencé la maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables à l’UQO en 2018. Son projet de recherche vise à obtenir des informations sur la tolérance de différents arbres urbains à différentes perturbations dans les villes du nord-est de l’Amérique du Nord, qui disposent de peu d’informations sur leurs effets, en utilisant la méthode Delphi. Cette recherche permettra de savoir quelles espèces d’arbres urbains sont les plus résistantes aux différentes perturbations et quelles perturbations sont les plus dommageables pour le développement futur de la forêt urbaine.

Timothée Fouqueray
Stagiaires post-doctorauxTimothée analyse comment les adaptations aux changements climatiques modifient les pratiques de gestion des socio-écosystèmes. Il s’intéresse spécifiquement à la prise en compte de l’incertitude dans les décisions actuelles de gestion forestière : les dérèglements climatiques impactent-ils déjà les choix de coupe, de plantation, de diversification des forêts ? Pour cela, Timothée mobilise des méthodes participatives mêlant données écologiques, climatiques, et socio-économiques. Durant sa thèse, il a conçu et animé un serious game simulant un territoire forestier sur plusieurs décennies. L’objectif était de suivre les adaptations techniques et organisationnelles des participants. Son principal projet post-doctoral poursuit dans cette lignée : aux côtés de Jérôme Dupras, Jean-François Bissonnette, Christian Messier (au Québec), Quentin Ponette et Mathieu Jonard (en Belgique), il analyse les freins et leviers à l’adoption de l’approche fonctionnelle. Celle-ci propose de répondre aux incertitudes climatiques en diversifiant les réponses des forêts aux pathogènes, sécheresses, etc., en augmentant le nombre d’essences en place et en favorisant leur présence à de grandes échelles spatiales. Docteur en écologie, attaché à l’interdisciplinarité, Timothée a lui-même complété sa maîtrise en écologie scientifique par une formation de sciences politiques.

Raphaëlle Frechon
Étudiant(e)s à la maîtriseRaphaëlle détient une maîtrise en gestion durable des écosystèmes forestiers (UQAM 2016) et un baccalauréat en biologie environnementale (McGill 2014). Elle a débuté une maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables en 2020. Elle s’intéresse à la conservation et à la valorisation des espaces naturels. Au cours des dernières années, elle a oeuvré au sein d’organismes communautaires dont le Conseil régional de l’environnement de Laval et GUEPE. Elle a également travaillé comme technicienne forestière en Colombie-Britannique. Elle a ainsi participé et coordonné plusieurs projets d’inventaires en milieux humides et forestiers, tant en milieux urbains qu’éloignés.

Lynda Gagné
Professionnels de rechercheChercheuseLynda Gagné est professeure émérite à l’Université de Victoria, et travaille actuellement comme consultante indépendante et chercheuse à l’ISFORT (Institut des sciences de la forêt tempérée) à l’Université du Québec en Outaouais. Elle a obtenu son doctorat en économie à l’Université de la Colombie-Britannique en 2002 et a complété ses études de comptable général accrédité en 1991. Avant de se joindre à l’École d’administration publique en tant que membre du corps professoral de l’Université de Victoria en 2001, elle a enseigné la comptabilité et l’économie à l’Université Simon Fraser, à l’Université de la Colombie-Britannique et au Collège Columbia, entre 1997 et 2001, et a travaillé comme comptable dans le secteur à but non-lucratif et pour le gouvernement du Yukon de 1986 à 1993. Son expertise comprend l’analyse des avantages et l’évaluation économique en général, et la gestion financière et économique du secteur public. Ses intérêts de recherche comprennent l’économie écologique, l’évaluation économique des projets et des politiques du secteur public, les finances publiques, et la lutte antitabac.

Marc-André Guertin
Étudiant(e)s au doctoratCo-directionMarc-André Guertin a une formation en sciences (écologie et sciences de l’environnement) de l’UQAM et de l’Université McGill. Il détient une maîtrise en sciences de l’environnement de l’UQAM, et une formation de 2e et 3e cycle en éducation relative à l’environnement (UQAM) ainsi qu’en pédagogie de l’enseignement supérieur (Université de Sherbrooke). Il détient une expérience appréciable en gestion des milieux naturels à l’échelle locale, il enseigne la conservation de la biodiversité au Centre de formation universitaire en environnement et développement durable (CUFE) de l’Université de Sherbrooke. Ses intérêts de recherche portent sur l’aménagement du territoire ainsi que la formation des décideurs à l’environnement et à la biodiversité. Il est candidat au doctorat à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM sous la direction de Lucie Sauvé.

Santiago Izquierdo Tort
Stagiaires post-doctorauxSantiago est un économiste écologique qui s’intéresse à la manière dont les politiques de protection de la biodiversité basées sur le marché se développent, fonctionnent et interagissent avec le dosage macroéconomique (policy mixes) dans les milieux tropicaux. Il a obtenu son doctorat en développement international à l’Université d’Oxford en 2018, dont la thèse portait sur les processus socio-écologiques dynamiques et les résultats qui résultent de la participation communautaire à long terme aux programmes de paiement pour les services écosystémiques (PSE) à Selva Lacandona, au Chiapas. Santiago a plus de dix ans d’expérience sur le terrain aux côtés de l’ONG Natura y Ecosistemas Mexicanos dans la conception, la mise en œuvre et l’évaluation de programmes de PSE, de zones protégées (AP) et d’écotourisme communautaire au Chiapas et dans d’autres régions du Mexique. Ses recherches et son travail de praticien explorent la manière dont les instruments de protection de la biodiversité sont adoptés, transformés et appliqués localement et comment ces processus locaux informent la théorie et la pratique de la conservation. L’approche de Santiago est interdisciplinaire et fait appel aux sciences sociales et naturelles. Elle combine des méthodes et des analyses socio-économiques, géospatiales et de surveillance de la biodiversité. En 2019, il a rejoint l’équipe de l’ISFORT en tant que chercheur postdoctoral sur un projet axé sur l’évolution et les performances à long terme des programmes de PSE au Mexique et ailleurs.

Rose Kikpa Bio
Étudiant(e)s au doctoratRose est titulaire d’une maîtrise en géographie et aménagement du territoire à l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin) et d’une autre maîtrise en sciences sociales du développement territorial à l’Université du Québec à Outaouais (UQO). Son mémoire de maîtrise portait sur La gouvernance des espaces verts à Gatineau : cas de la forêt Boucher. Elle continue ses études au doctorat en Sciences Sociales Appliquées à l’UQO. Ayant plusieurs années d’expériences professionnelles en développement communautaire et coopération internationale, Rose a contribué à l’élaboration des politiques en gestion de l’environnement, des schémas d’aménagements et de développement. Ses champs de recherches portent sur la gestion des ressources naturelle, l’aménagement du territoire et la gouvernance.

Camille Kowalski
Étudiant(e)s au doctoratCamille est candidate au doctorat à l’ISFORT/UQO. Elle est titulaire d’un baccalauréat de l’Université du Queensland (Australie) en Sciences Marines (2017) ainsi que d’une maitrise du programme IMBRSea (Portugal, Espagne, Irlande) en gestion des ressources marines (2019). Son mémoire de maitrise consistait à évaluer l’impact de la pêche artisanale sur les tortues marines de l’île de São Tomé, un archipel situé au large du continent africain. Son projet de doctorat vise à caractériser la navigation de plaisance dans l’habitat estival du béluga du Saint-Laurent. Le développement d’un modèle multi-agent représentant les comportements des plaisanciers sera intégré à une plateforme de simulation impliquant également les mouvements des bélugas et des quatre espèces de grands rorquals les plus fréquents dans la région. Le simulateur global aura pour but d’évaluer les impacts de la plaisance sur les baleines et permettra de tester des scénarios visant à atténuer ces impacts.

Chloé L’Écuyer-Sauvageau
Étudiant(e)s au doctoratChloé a une formation en études de l’environnement et en économie. Elle est titulaire d’un baccalauréat de l’Université d’Ottawa en études de l’environnement et en science économique (2014) et d’une maîtrise de l’Université Concordia en Environmental Assessment (2016). Son projet de doctorat porte sur l’évaluation monétaire et non monétaire des services écosystémiques liés à la qualité de l’eau dans un contexte de floraison de cyanobactéries en Estrie. Ses intérêts de recherche portent principalement sur l’économie écologique, l’aménagement du territoire et la conservation d’espaces naturels.

Julie Lafortune
Professionnels de rechercheDirectrice adjointeJulie Lafortune a rejoint la Chaire en 2019, à titre de directrice adjointe, afin de soutenir l’équipe dans la gestion et l’administration des activités de recherche, de même qu’au niveau des communications et du développement de projets. Elle est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires, du Département de Stratégie, responsabilité sociale et environnementale de l’École des sciences de la gestion (UQAM), et d’un baccalauréat en communication de l’Université du Québec à Montréal. Elle œuvre depuis plusieurs années dans le secteur de l’environnement et du développement durable, et a acquis une grande expérience en coordination de projets et d’événements, développement de partenariats et gestion administrative, notamment au sein de la Chaire de responsabilité sociale et développement durable, à titre de conseillère en environnement dans le secteur corporatif, et à la direction d’organismes environnementaux.

Jérôme Lavoie
Étudiant(e)s au doctoratCo-directionJérôme Lavoie est actuellement candidat au doctorat en sciences de l’environnement à l’institut des sciences de l’environnement (ISE) de l’UQAM. Après avoir obtenu un baccalauréat en biologie de l’UQAR en 2015, il a effectué un retour aux études en 2018 à la maîtrise en sciences de l’environnement à l’UQAM au sein du CIRAIG. Au cours de ces deux années, ses travaux de recherche ont porté sur l’intégration des impacts des microparticules de plastiques sur les organismes des milieux aquatiques à la méthode d’évaluation environnementale qu’est l’analyse du cycle de vie (ACV). Son doctorat fait partie du projet Cost to coast (C2C). Il traitera encore de l’ACV, mais cette fois-ci en mettant l’accent sur l’évaluation de la durabilité absolue de la perte de services écosystémiques associées à différents scénarios de gestion des milieux marins et côtiers, autant au niveau territorial que global.

Julie Lebert
Professionnels de rechercheTechnicienne en administrationÀ titre de technicienne en administration, Julie offre son soutien aux membres de l’équipe dans l’accomplissement de nombreuses tâches de nature administrative et dans l’organisation des activités de recherche de la Chaire. Aux cours des dernières années, elle a eu l’occasion de partager son expérience dans ce domaine auprès d’organismes représentant des causes rejoignant ses valeurs. Notamment d’un point vu social dans un organisme offrant du soutien aux femmes nouvellement mères. Ainsi qu’environnemental, au sein d’un organisme ayant pour mission d’accompagner les citoyens et les organisations à diminuer leur impact.

Ann Lévesque
Étudiant(e)s au doctoratAnn s’est jointe au laboratoire d’économie écologique et au projet ANCRAGE en 2017 lorsqu’elle était à la maîtrise au département des sciences naturelles de l’UQO. Au cours de ses études de deuxième cycle, elle a étudié le conflit de conservation entourant la production agricole dans la plaine inondable du lac Saint-Pierre (Québec, Canada) et la conservation des habitats fauniques. Titulaire d’un baccalauréat en sciences agronomiques et environnementales de l’Université McGill, ses intérêts de recherche portent sur l’analyse des systèmes socio-écologiques, l’économie écologique, la gouvernance environnementale et la recherche-action. Depuis l’hiver 2019, Ann a commencé un doctorat pour continuer ses recherches entamées à la maîtrise dans le but de définir des pistes d’action collective favorisant la conciliation des usages en milieu agricole.

Félix Lorrain-Landry
Étudiant(e)s au doctoratFélix est titulaire d’une Maîtrise en gestion durable des écosystèmes forestiers obtenue à l’UQÀM en 2017 et d’un baccalauréat en biologie obtenu en 2015 de la même université. Ce parcours académique l’a mené à vouloir en apprendre davantage sur les arbres, les forêts et particulièrement les relations unissant ces dernières avec les populations humaines. Il a donc poursuivi ses études au doctorat avec un projet portant sur les problématiques écologiques et sociales entourant les forêts urbaines. Ses thématiques de recherches touchent principalement les inégalités environnementales, la résilience à la fois des écosystèmes et des populations ainsi que les changements globaux. De nature multidisciplinaire, ce projet l’amène à mobiliser des compétences et techniques issues autant des sciences biologiques (écologie forestière, biostatistiques, etc.) que des sciences sociales (sondages, modélisation de choix, etc.). Tout au long de son parcours, Félix a été amené à travailler sur divers mandats en lien avec l’infrastructure naturelle en ville. Il a par exemple participé à une étude sur le verdissement du centre-ville de Gatineau (CREDDO) puis à une étude sur l’adaptation des villes du Québec aux impacts des changements globaux (Eco2Urb, Fondation David Suzuki).

Irène Mestre
Stagiaires post-doctorauxIrène est docteure en géographie et consultante pour des organisations internationales. Elle s’intéresse à l’interface Homme Nature dans les zones peu peuplées et en particulier aux modes de gestion des biens communs. Elle a exploré les effets de la gestion communautaire des pâturages sur la résilience des communautés rurales au Kirghizstan dans le cadre de son doctorat à l’Université Jean Moulin-Lyon 3 (UMR 5600), en partenariat avec l’Institut Français d’Études sur l’Asie Centrale. Elle a également travaillé sur les dynamiques de collaboration pour l’usage des ressources naturelles dans les territoires transfrontaliers, les effets de l’industrie minière sur la gestion communautaire ainsi que sur le renforcement institutionnel de la décentralisation de la gestion des pâturages. Ses domaines d’expertise sont les institutions de gestion des ressources naturelles, l’analyse des systèmes socio-écologiques, le développement rural et l’approche qualitative. Elle réalise actuellement son stage postdoctoral à l’UQO sur le réseau d’aires protégées et la place accordées au concept de services écosystémiques. Elle explore notamment les perspectives de l’intégration des services écosystémiques dans la gestion des aires protégées et les implications sur le jeu d’acteurs.

Véronique Nolet
Étudiant(e)s à la maîtriseco-directionBiologiste marine de formation et diplômée de l’Université du Québec à Rimouski, Véronique a entrepris une carrière dans le domaine de la protection et de la conservation des mammifères marins dans le Saint-Laurent dès la fin de son baccalauréat. Elle a occupé différents postes au sein du Réseau d’observation de mammifères marins (ROMM), un poste de directrice pour le programme environnemental de la région du Saint-Laurent, puis a intégrée l’équipe dédiée au transport maritime au Centre d’innovation de Transports Canada. Dans le but de s’outiller davantage en ce qui a trait à la recherche de solutions consensuelles pour mieux arrimer activités économiques maritimes et protection des mammifères marins, Véronique décide de poursuivre son parcours académique en s’inscrivant à la maîtrise à l’Université du Québec en Outaouais, sous la direction des Dr Jérôme Dupras et Dr Clément Chion. Elle joindra ainsi l’équipe dynamique de l’Institut des sciences de la forêt tempérée (ISFORT), pour y travailler plus spécifiquement sur les enjeux de co-construction de scénarios d’atténuation des activités maritimes sur le béluga du Saint-Laurent.

Caroline Petit
Professionnels de rechercheAuxiliaire de rechercheCaroline a une maîtrise professionnelle en gestion durable des écosystèmes forestiers de l’Université du Québec à Montréal. Elle est également diplômée d’un baccalauréat en biologie et environnement de l’Université Paul Sabatier en France et a effectué une année d’étude en échange universitaire à l’Université de Saskatchewan, en écologie. Après avoir travaillée pendant deux ans et demi en Abitibi-Témiscamingue pour plusieurs communautés Anishnabeg à titre de consultante en gestion du territoire, elle travaille maintenant au sein de la chaire sur divers projets portant principalement sur la conservation de la biodiversité.

Jana Schluenss
Étudiant(e)s à la maîtriseLes interactions entre les humains et l’environnement sont au cœur des intérêts scientifiques de Jana, laquelle s’intéresse particulièrement au concept des services écosystémiques et à leur importance pour la gestion durable des systèmes marins et côtiers, basée sur une perspective holistique. Titulaire d’un baccalauréat en géographie de l’Université Fribourg-en-Brisgau en Allemagne, elle se joint au projet Cost to Coast [C2C] comme candidate à la maîtrise sur mesure en développement durable et conservation des ressources renouvelables. Son projet de recherche vise à développer une méthodologie pour identifier et évaluer les bouquets de services écosystémiques et à créer un nouvel ensemble d’indicateurs d’analyse de cycle de vie pour quantifier la perte potentielle des services écosystémiques dans des zones maritimes, estuariennes et côtières. Ses recherches auront pour but de promouvoir, en co-construction avec les acteurs territoriaux, des scénarios de développement durable. Jana compte plus de six années d’expérience pratique en gestion des écosystèmes marins et en collaborations internationales en tant que vice-présidente et coordinatrice des projets environnementaux pour une ONG. De plus, elle a travaillé sur la connectivité des habitats et sur l’éducation environnementale.

Caroline Simard
Étudiant(e)s au doctoratCaroline est titulaire d’une maîtrise en économie de l’UQAM (2008) et d’un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal (2004). Son mémoire de maîtrise portait sur l’intégration de la valeur de l’amélioration de la qualité de l’eau dans l’analyse avantages-coûts de différents scénarios de pratiques agroenvironnementales. Économiste à l’IRÉC, elle est chargée de projets dans le domaine de l’énergie, des ressources naturelles et du développement durable. Elle a également contribué à des mandats de consultation portant sur les services écologiques liés à l’agroforesterie et a participé à deux stages de recherche au Kenya et en Ouganda liés aux paiements pour services environnementaux et à l’évaluation de programmes. Caroline s’est jointe aux projets ANCRAGE et ATRAPP en janvier 2017 où elle réalisera des analyses avantages-coûts intégrant les valeurs économiques hors marché et elle participera à l’élaboration de programmes de paiements pour services environnementaux (PES). Ses intérêts de recherche portent sur l’intégration de la complexité des systèmes socio-écologiques au sein des programmes de PES.

Alejandra Zaga Mendez
Étudiant(e)s au doctoratAlejandra Zaga Mendez est candidate au doctorat à l’ISFORT/UQO. Elle obtient une maitrise en sciences de ressources naturelles en 2016, et un baccalauréat en sciences agro-environnementales en 2013 à l’Université McGill. Elle possède une formation en économie écologique et sciences agroenvironnementales, et s’intéresse aux rôles des institutions et des cadres socio-écologiques dans l’adoption des comportements écologiques. Dans le cadre du projet ANCRAGE, sa recherche porte sur les facteurs écologiques et institutionnels qui assurent la pérennité des pratiques agroenvironnementale dans un contexte de changements climatique. Plus spécifiquement, ce projet de recherche vise à proposer des modèles socioécologiques qui prennent en considération les défis biophysiques et écologiques présents dans l’agriculture québécoise.